Note générale :
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Autour de Prokop Poupa, professeur tchèque réduit à l'état de balayeur, l'auteur peint tout un petit monde d'hommes et de femmes marginalisés par la dissidence. Chacun imagine d'un dieu Lare le protège. L'un le situe dans sa cuisine, l'autre sur son balcon, ou à la cave. Prokop, lui, place son dieu Lare dans... les cabinets qui deviennent un haut lieu de méditation. Un endroit aussi où il remâche sa misère, toute la détresse des séparations. Son ex-femme, en effet, va partir pour l'Angleterre en emmenant leur fils. Arrive la révolution. Chacun de ses amis retrouve un poste, devient important. Pour Prokop, il est trop tard. Il aboutit à la conclusion qu'il "ne savait plus rien sinon qu'il n'était rien"
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