Note générale :
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Alors qu'il avait cru construire sa liberté, un accident met Xénos face à une autre réalité : de sa vie il n'a fait que rechercher l'enfermement qu'il voulait fuir. Avec l'amour d'Agathe, et malgré lui. "Les enfants croient bien à la vie des poupées, tas de chiffons, les adultes, eux, à la vie des maisons ? Et voilà que depuis dix ans j'ai reproduit un endroit où le mouvement s'arrête aux arêtes des murs et lui ai donné ton visage, tous les deux nous nous desséchons dans la contemplation de ce tas de cailloux. Du haut de la tour l'extérieur devient une toile, une peinture, Agathe, comment avons-nous pu ?" Comme une dernière bouffée d'air Xénos retrouve sa fascination pour Yan, qui exhale toujours la grâce de l'adolescence "seul endroit où tout surgit, après, avant, à l'intersection de, après que tout est décidé, réglé, mâché, avant que tout bascule, que tout s'installe, éruption de l'homme qui d'un coup se sent exister."
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