Note générale :
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Une passion entre Gauvin, marin-pêcheur breton, et une universitaire parisienne qui ne se retrouveront chaque année que quelques jours, quelques semaines, mais cette succession de retrouvailles créera le tissu d'une vie à deux toute de tendresse
Il ne faudrait pas voir dans Les Vaisseaux du coeur une sorte de roman «volontariste», affirmant sans nuance que la liberté d'aimer «sauve» de tous les maux. Il suffit de lire les belles pages sur la vieillesse, vers la fin du livre, pour s'apercevoir que Benoîte Groult n'a pas perdu, dans une prétendue «pornographie», sa lucidité. Josyane Savigneau, Le Monde
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