Note générale :
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«D'un autre point de vue, l'amour lui paraissait une "dictature", chose que la vie égyptienne lui avait appris à haïr, et du plus profond de son coeur ! Dans la maison de "sa tante" Galila, il offrait son corps à Atiyya, puis le reprenait aussitôt, comme si rien ne s'était passé.» Après Impasse des deux palais et Le Palais du désir, Le Jardin du passé clôt la grande trilogie de Naguib Mahfouz, qui raconte l'Égypte basculant dans la modernité. Ce sont les petits-enfants d'Abd el-Gawwad qui incarnent désormais les contradictions et les blessures du pays. Un immense roman pour approcher l'Égypte d'aujourd'hui
Disparu en 2006, Naguib Mahfouz est le premier écrivain de langue arabe à avoir reçu, en 1988, le prix Nobel de littérature
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