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Note générale :
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Le héros se transporte en rêve dans l'antique Pompéi ; il croise des paysans campaniens, des patriciens en robe blanche; il assiste à une représentation de Plaute et reçoit les hommages d'une jeune fille merveilleusement belle, qui se donnerait à lui si son père, Arrius Diomédès, ne venait rompre le charme en prononçant des paroles d'exorcisme. Le procédé du conteur pour rendre l'histoire acceptable n'est pas neuf. [...] un songe s'élabore et se déroule avec logique, à partir d'un épisode de la vie réelle. Le jeune Octavien a visité dans la journée le musée de Naples et longuement contemplé un morceau de lave qui porte en creux l'empreinte d'une figurine de femme; puis il est allé visiter, à Pompéi, la villa d'Arrius Diomédès, où fut découvert ce vestige. Quoi d'étonnant si, la nuit, son imagination voyage et si, pour le dormeur, revit tout un passé? Ainsi que le héros de La Cafetière, Octavien est somnambule : il a, effectivement, quitté sa chambre et s'est dirigé vers la maison en ruines; ses amis le retrouvent évanoui sur des carreaux de mosaïque
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